La traduction de l’urgence de décarboner peut s’incarner par un prix interne du carbone, reflet de la valeur tutélaire française proposée par l’État. L’APESA travaille aujourd’hui activement à traduire en termes monétaires l’impact sur les émissions des actions menées en matière de décarbonation Cela permet à nos partenaires de mieux cibler leurs investissements dans un contexte de forte augmentation du prix ...
« Dites à l’avenir que nous arrivons ». Cette phrase titre du livre de Mathieu Baudin, directeur de l’Institut des futurs Souhaitables (voir la chronique), illustre bien l’esprit qui anime le CHEDD Nouvelle Aquitaine dont la 14ième session embarque au mois d’octobre. Vous souhaitez sortir du cadre, vous créer une culture de la transition, explorer les expérimentations transformatrices, confronter vos ...
Monté sous forme d’une chaire d’entreprises et labellisé par le pôle de compétitivité Xylofutur , le projet BioForTer ( acronyme de « Bioéconomie, Forêts et Territoires » ) ambitionne de créer une dynamique de transition vers une bioéconomie durable pour les systèmes productifs forestiers, les acteurs de la filière et leurs territoires.
« L’opinion publique a été bercée de l’illusion aujourd’hui hautement inflammable d’une transition écologique merveilleuse, qui créerait emplois et richesses pour tous, tout en redonnant à la nature son lustre d’antan. Cette caverne d’Ali Baba n’existe pas ». Economiste du climat, Christian Gollier veut à travers cet ouvrage déconstruire l’idée d’une « transition énergétique heureuse » qui se fasse sans sacrifice financier sur le pouvoir d’achat.
Notre vision de la nature est fortement marquée par la vision d’humains ayant pris les commande d’un système Terre qu’ils modèlent comme ils le souhaitent « Nous voilà entrés, et avec nous la Terre tout entière et chaque être qui la peuple, dans l’ère de l’humain, l’anthropocène. Les paysages, les océans et l’atmosphère ne sont plus la toile de fond transcendante ...
« Le but ultime, conscient ou inconscient, d’une organisation (donc d’une entreprise), est d’assurer sa survie, et celui du pouvoir qui est à sa tête, d’y rester ; tout le reste n’est que moyens pour y arriver ». C’est ce que l’on a appris à Emmanuel Faber, jeune étudiant à HEC. « Une entreprise qui pour maximiser ses profits distribuables aux ...