Décarboner l’économie, c’est aussi passer par l’utilisation du sous-sol, soit pour stocker le CO2, soit pour stocker temporairement de l’Hydrogène, soit pour produire de l’énergie renouvelable décarbonée (géothermie). Depuis plusieurs années, l’APESA a développé une expertise d’intégration territoriale et de dialogue territorial sur ce type de projet, apports et réflexions essentiels pour la mise en œuvre des projets. Aujourd’hui l’APESA ...
Journaliste scientifique au Monde, l’auteur défend sa thèse avec une argumentation bien étayée et de nombreux exemples qui la rendent très convaincante, mais aussi avec un talent d’écriture et un humour jamais très loin. On ressort de cet ouvrage avec une autre vision du Marché et plus globalement un regard différent sur les religions. Un livre qui se lit avec beaucoup de plaisir.
C’est l’exemple du tournoi organisé par Anatol Rapoport qui a permis à Juliette Tournand de cristalliser sa réflexion et de développer sa « stratégie de la bienveillance ».Spécialiste de la théorie des jeux, Anatol Rapoport a organisé un tournoi sur Internet ou des experts en mathématiques, sciences politiques, économie, psychologie, et sociologie, ont joué un un grand nombre de coups dans ...
Dans cet essai percutant, Jean-Marc Gancille nous incite à un militantisme radical. Selon lui, les idées qui permettent d’espérer une transition « en douceur » sont des leurres qui nous font perdre un temps précieux et dépenser de l’énergie en vain.
Pour l'auteur, il faut des réponses égales à « la férocité de l’assaut porté». Un livre qui se veut un « coup de gueule » pour nous rappeler que « nous allons avoir besoin de courage, pas d’espoir » pour faire face à l’inéluctabilité de la catastrophe.
Après une vie à la fois d’ingénieur, de scientifique (généticien) et de militant, il veut partager ses questionnements, ses convictions, ses craintes et ses espoirs. Pour cela il s’adresse à un de ses futurs arrière-petits-enfants qui sera adolescent en 2025.
Il nous propose de faire un exercice de lucidité sur les impasses dans lesquels nous sommes engagés : l’impasse de la finitude, l’impasse de la myopie libérale, l’impasse de la valeur, l’impasse de l’unidimensionnalité, l’impasse des financiers, l’impasse du chômage...
En 1933, Einstein avait partagé ses réflexions dans un ouvrage « Comment je vois le monde » et il avait parlé de la réduction du temps de travail . « Ce même progrès technique qui pourrait libérer les hommes d’une grande partie du travail nécessaire à leur vie, est le responsable de la catastrophe actuelle », disait-il alors.
Un livre qui fourmille d’études de cas, de données ou de graphiques d’une très grande qualité. C’est un argumentaire illustré et captivant, qui permet de bien saisir les enjeux de la réduction du temps de travail face à des injonctions idéologiques du type « travailler plus pour gagner plus ».